Bonjour, soyez les bienvenus pour la cent-sixième édition de #lexpressiondumardi, consacrée à l’expression « se regarder le nombril ».
Se regarder le nombril
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C’est pas le Pérou !, se mettre à table, tomber sur un os, être fait comme un rat, une histoire à dormir debout, mettre son grain de sel, être dans les choux.
Ce n’est pas ma tasse de thé, un de ces quatre, les doigts dans le nez, se croire sorti de la cuisse de Jupiter, ne pas être sorti de l’auberge.
Noyer le poisson, donner du fil à retordre, couler de source, se reposer sur ses lauriers, faire un malheur, poser un lapin.
Je touche du bois !, tomber des nues, comme des moutons de Panurge, peigner la girafe, en mettre sa main au feu.
Donner un coup de main, avoir le cœur sur la main, ne pas y aller de main morte, mettre la main à la pâte, se lever du pied gauche.
Se mettre sur son 31, il fait un froid de canard !, ça ne casse pas trois pattes à un canard, à la Saint-Glinglin.
Être fleur bleue, par monts et par vaux, être soupe au lait, aller à vau-l’eau, vouloir le beurre et l’argent du beurre.
Il y a anguille sous roche, avoir un cœur d’artichaut, tomber de Charybde en Scylla, ouvrir la boîte de Pandore, être le dindon de la farce.
Je vous donne rendez-vous dès la semaine prochaine pour un nouvel article grammatical, et dans deux semaines pour une nouvelle expression. A très bientôt !
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