Nous lançons aujourd’hui une série de fiches consacrées aux bases de la conjugaison. La première est destinée à faire un bref rappel sur les trois groupes dans lesquels l’intégralité des verbes de la langue française sont répartis.
Nous lançons aujourd’hui une série de fiches consacrées aux bases de la conjugaison. La première est destinée à faire un bref rappel sur les trois groupes dans lesquels l’intégralité des verbes de la langue française sont répartis.
Y est un petit mot bien utile de la langue française, mais il s’agit de l’utiliser à bon escient. Nous allons brièvement passer en revue ses usages et ses spécificités.
Lisez à voix haute : on a, on n’a pas. La liaison avec la voyelle a nous force dans le premier cas à prononcer le son -n à la fin du mot on, ce qui a pour résultat fâcheux qu’on a et on n’a se prononcent de la même manière. Nous allons vous aider dans cet article à savoir facilement quand placer n’ après on.
Nous allons éclaircir dans les lignes qui suivent la distinction à faire entre ce qui et ceux qui, qui se prononcent de la même manière. Cela sera aussi valable pour ce que/ceux que, ce dont/ceux dont, etc.
Read moreLa différence entre peut être et peut-être peut paraître subtile, pourtant leurs sens et utilisations sont très différents. Nous allons brièvement les expliquer.
Read moreCe court article vous aidera à toujours faire le bon choix entre est et ait.
Read moreAttaquons-nous sans plus tarder à un nouveau trio d’homophones : mer, mère et maire.
Read more
Dont est un pronom relatif très pratique, mais il est souvent mal employé. Cet article se propose de passer en revue les cas où dont doit être utilisé… et ceux où il doit être évité.
Ce court article va vous aider à bien utiliser demi. N’hésitez pas à le partager pour en faire profiter vos proches !
Nous allons aujourd’hui aborder les différences entre les homophones sans, sang, s’en et cent. Comme toujours, vous verrez qu’il est assez simple de s’en sortir sans suer (cent fois) sang et eau.
Si la plupart des adjectifs de couleur se comportent comme des adjectifs normaux, et s’accordent donc en genre et en nombre avec le nom auquel ils se rapportent, il existe bien sûr quelques exceptions qui valent la peine d’être relevées et que nous allons — rapidement — passer en revue.
Nous allons nous pencher aujourd’hui sur une nouveau trio d’homophones : mon, m’ont et mont. Vous allez vite réaliser qu’il est très facile de les différencier.
Pour commencer cette nouvelle année, je vous propose de faire un rapide bilan des 12 derniers mois, avant d’évoquer les projets qui vont venir agrémenter 2016.