L’article du jour vous aidera à y voir plus clair sur un point sur lequel j’avais moi-même très souvent des doutes. Mais maintenant tout est limpide. 🙂
L’article du jour vous aidera à y voir plus clair sur un point sur lequel j’avais moi-même très souvent des doutes. Mais maintenant tout est limpide. 🙂
Nous allons aujourd’hui nous pencher sur un trio d’homophones : hoquet, hoquet et OK. OK ? 🙂
Nous allons aujourd’hui nous pencher sur les homophones seau, saut, sceau et sot. Et que ça saute ! 🙂
Cet article se propose de passer en revue les homophones sou, soûl, saoul et sous.
Cet article vous aidera à bien différencier les homophones pou et pouls.
Read moreBonjour à tous,
Aujourd’hui je vous propose de lire une petite histoire bien amusante, écrite tout spécialement pour les lecteurs de Gramemo par Didier Lemariey du blog Marchand-histoires.com. J’espère qu’elle vous plaira ! Elle est sur le thème de… la grammaire. 🙂
Cette semaine, je vous propose de découvrir ou redécouvrir (sans douleur) les homophones aïe, ail, et aille, et aussi ailles et aillent, tant que nous y sommes.
Read moreCet article vous aidera à bien faire la différence entre les homophones guère et guerre. Comme vous le verrez… cela ne prendra guère plus de quelques instants.
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Après les articles publiés les dernières semaines et issus de notre dernier livre, Maîtrisez les bases de la grammaire française en moins d’une heure (maintenant disponible aux formats électronique et papier), je vous propose de revenir aux vieilles habitudes et de nous pencher sur un nouveau groupe d’homophones : port, porc et pore.
Quelles que soient sa place et sa fonction, l’adjectif qualificatif s’accorde le plus souvent en genre et en nombre avec le nom ou le pronom dont il dépend.
Exemple : des chaussettes sales (féminin pluriel, comme chaussettes)
Une proposition est un ensemble généralement formé d’un groupe verbal et de son propre sujet (parfois implicite).
On distingue les propositions indépendantes (qui sont parfois coordonnées ou juxtaposées), les propositions principales, et les propositions subordonnées (ces dernières pouvant elles-mêmes être conjonctives complétives, conjonctives circonstancielles, relatives, interrogatives indirectes, ou même infinitives et participiales).
Une proposition subordonnée peut dépendre d’une autre proposition subordonnée.
Les prépositions sont des mots invariables qui relient des mots dans une phrase tout en donnant des indications sur la fonction de ces mots.
Exemples : à, de, par, pour, comme, avec, etc.
Il existe quatre types de phrases : la phrase déclarative, la phrase impérative, la phrase exclamative et la phrase interrogative .
Dans cette seconde partie, nous allons nous pencher sur la phrase exclamative et la phrase interrogative. (Si vous n’avez pas lu la première partie, cliquez ici)
Il existe quatre types de phrases, qui déterminent la façon dont on s’adresse à son interlocuteur : la phrase déclarative (exemple : Je pense qu’il nous ment.), la phrase impérative (exemple : Arrête de nous mentir !), la phrase exclamative (exemple : Tu mens, comme toujours !) et la phrase interrogative (exemple : Pensez-vous qu’il nous dira un jour la vérité ?). Elles se distinguent par leur construction grammaticale et par des intonations différentes à l’oral.
Nous allons nous pencher dans cette première partie sur la phrase déclarative et sur la phrase impérative.